@pelotedelaine:
Je croyais avoir été plutôt nuancé dans mes réactions, si tu relis ce que j’ai dit :
- “Pour ma part, je n’ai aucune opposition éthique au fait de manger du chien”, pas plus que du kangourou, de l’antilope, du zébu, ou peu importe : en fait, celà visé à préciser que je n’ai pas d’objection éthique ou morale à essayer ce qui se fait dans les pays que je visite.
Je précise après qu’à ma connaissance, manger du chien n’est pas une pratique courante chez les vietnamiens, et que donc, “tout mangeur de chien au Vietnam est un touriste ou un aventurier qui est demandeur” (et pour être franc, ce n’est vraiment pas mon style d’aller demander à un Hindou de me faire un steak frite).
En gros, je réponds au sujet d’origine : si vous ne demandez pas ardamment, et dans les milieux adéquats à manger du chien, on ne viendra pas vous en proposer.
Après, je comprends que ma liberté de ton puisse heurter, mais je ne crois rien avoir dit de répréhensible, et vlà que tu me balance je ne sais combien de liens sur la façon sont on traite ces pauvres bètes (qui certes ne l’ont pas demandé).
Là, j’ai l’impression d’être face à un ultra de la cause animale, qui s’émeut plus de l’image du petit chien abandonné au bord de la route un jour de départ en vacances, que façe aux cadavres de gosses qu’on nous diffusait en boucle au lendemain du dernier Tsunami…
Pour ta remarque sur les humains qui “restent cons et cruels” : tu remarquera que souvent, les humains sont les plus cons, les plus cruels, et font le plus de gosses dans les pays ou nous (ou nos parents ou nos grands parents) européens avons foutu laissé le plus de boxon en les quittant lors de la décolonisation.
J’ai toujours été contre la torture animale, mais tant que les humains ne vivront pas mieux et continueront de se reproduire de façon anarchique, je vois pas comment on peut défendre réellement la cause animale : les animaux sont tout aussi condamnés que les humains.
Alors j’ai beau donner un petit billet de temps en temps (partiellement déductible des impôts), à part me donner la conscience tranquille, ça change pas vraiment le schmilblick : on a emminemment besoin des pouvoirs publics.