…je l’ai ‘rencontré’ à Ko Chang.
Il s’agissait là aussi, de taxis collectifs. Mais ils étaient moins nombreux.
Une fois le prix convenu, il a roulé quelques temps (assez pour vous dissuader de retourner au port à pieds) puis il a stoppé net en demandant un peu plus; pas grand chose, mais un peu plus quand même.
Au milieu de nulle part (pour nous, qui ne connaissions pas), en bord de route.
N’ayant notre accord de suite, il est allé discuter tranquillement avec ses amis (d’autres taxis, probablement aussi honnêtes que lui!)
Nous étions plusieurs voyageurs; c’est le temps de notre réflexion qui les a bloqués. Plutôt gênant…
Avec un enfant plutôt jeune, de gros sacs, un soleil de plomb et surtout sans savoir combien de temps nous allions devoir en attendre un autre au bord de la route, on a préféré accepter son racket.
C’était carrément de la filouterie organisée!
La somme était plutôt dérisoire mais pour le principe, c’est rageant.
Ce qui aurait été chouette, c’est que tout le monde refuse…et descende : ) Histoire de voir sa tête!
En attendant le taxi 'retour, réservé de nos bungalows, autant dire que j’avais hâte de voir le visage du conducteur… : (