Le meilleur de la République dominicaine

Plage de Saona © cieniu1 - stock.adobe.com

Que faire en République dominicaine ? Les sites à visiter 

Enchâssée entre mer des Caraïbes et océan Atlantique, la République dominicaine offre tout d’abord aux visiteurs son visage de plages de sable fin et de cocotiers alanguis. Mais la diversité de ses paysages, comme le tumulte de son passé, la placent bien au-delà d’une simple destination balnéaire.

Alors on atterrit d’abord à Saint-Domingue, la capitale, pour feuilleter l’histoire depuis Christophe Colomb. On déflore une de ses cinq cordillères, on effleure quelques-uns de ses vingt-neuf parcs nationaux. On s’enivre de ses verts, des champs de cannes à sucre aux entrelacs de mangroves ; on se noie dans ses bleus, de lacs en cascades. Et, surtout, on pénètre ici dans une jungle tropicale, là dans de mystérieuses grottes taïnos avant d’aller se déhancher sur un air de merengue.

Cap sur ce pays aux multiples attraits qui partage avec Haïti la mythique île d’Hispaniola, découverte par Christophe Colomb et seconde île des Grandes Antilles par la taille après Cuba.

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Santo Domingo : explorer la capitale de la République dominicaine

Santo Domingo : explorer la capitale de la République dominicaine
Zone Coloniale - Santo Domingo © Wirestock - stock.adobe.com

Capitale de la République dominicaine, Santo Domingo est la première ville des Amériques, fondée par Bartolomé Colomb, le frère du célèbre navigateur.

On déambule à l’envi dans les ruelles de la Zone Coloniale (Unesco) pour observer un balcon ouvragé, caresser cette pierre dorée ; on se plante au milieu de la place de l’Hispanité pour capter l’harmonie des styles de l’Alcazar de Colomb, on saute de pavé en pavé dans la plus vieille artère du Nouveau Monde.

Des monuments historiques, la ville en compte plus de 300, souvent étonnamment bien conservés. Mais il serait dommage de cantonner Saint-Domingue à un livre d’histoire.

Téléphérique - favelas © Matyas Rehak - stock.adobe.com

Alors on emprunte le téléphérique, on survole la capitale avant de plonger dans Gualey, l’une des plus grandes favelas de la Caraïbe, où des habitants guident volontiers les visiteurs curieux. Des coqs qui se battent, des danseurs qui se jaugent, des éclats de rire enfantins et cette musique, omniprésente, que crache une radio, que chante une guitare. Bachata ou merengue, selon l’humeur, selon l’heure. 

Et pour sonder l’âme dominicaine, rien de tel que le quartier de Villa Mella, où vit, palpite et prie la Fraternité du Saint-Esprit des Congos, une communauté vieille de trois siècles. Un syncrétisme proche du vaudou et de la santeria cubaine, des rites bien ancrés et une dévotion à la Dolorita – la Vierge de Douleurs des catholiques – qui pose son voile de ferveur loin des bruissements de la capitale.

La péninsule de Barahona, une nature préservée

La péninsule de Barahona, une nature préservée
Playa San Rafael - Barahona © Stefanie Erxleben - stock.adobe.com

Extirpez-vous des embouteillages de la capitale pour filer plein ouest picorer la péninsule de Barahona : une région amplement préservée, d’une riche biodiversité. La route caresse la côte balnéaire, chatouille les manguiers, frotte les cactus, étreint une cordillère.

Là, des dunes ! Celles de Calderas, 15 km de renflements inlassablement sculptés par le vent. Des rectangles d’eau salée soigneusement délimités, rosissant au soleil, des cabanons à la peinture écaillée, un improbable chemin de fer, des wagonnets rouillés, et cette montagne scintillante : à Las Salinas – oui, ce sont bien des marais salants – on extrait toujours l'or blanc de façon ancestrale. Juste à côté, une plage sauvage, un must pour le surf.

Voici qu’en surplomb de la baie d’Ocoa apparaissent des vignes. Premier vignoble des Amériques, planté en 1506, c’est le seul de la Caraïbe aujourd’hui, que dompte désormais un couple de Californie.

Lagune Oviedo - Parc national de Jaragua © Zaneta - stock.adobe.com

Un arrêt à Barahona : la bourgade surprend autant par ses élégantes façades victoriennes que la caserne des pompiers, bleu larimar et rouge vif, que l’on croirait sortie d’un dessin animé !

On s’échappe de la côte, délaissant les champs opulents, jusqu’au parc national d’Isla Cabrito et sa vaste étendue glauque et salée ; le lac Enriquillo oppose à l’aridité de ses paysages la richesse de sa faune : une cinquantaine de type d’oiseaux, des iguanes rhinocéros qui n’ont de féroce que leur nom et, en vedette, une colonie, tout aussi protégée de crocodiles américains.

Encore un effort jusqu’au parc national de Jaragua, qui engloutit toute la pointe sud, fonds marins inclus. Une piste sinueuse et, au bout, une langue de terre qui se perd dans l’horizon : des centaines de flamants roses et de canards, d’ibis et de hérons ont élu domicile sur la lagune Oviedo. Magique au soleil couchant.

De Chavón à Bayahibe, au-delà des plages

De Chavón à Bayahibe, au-delà des plages
Altos de Chavón © Nenad Basic - stock.adobe.com

On file sur l’autoroute depuis la capitale pour d’intéressantes explorations sur la côte sud-est. Car la région ne se limite pas aux immenses resorts aux plages ourlées de cocotiers. Ainsi, tel un tableau de Millet, on admire le harassant labeur des braceros – des Haïtiens pour la majorité –, qui travaillent sous une chaleur écrasante dans les champs de canne à sucre. À l’ancienne, avec des charrettes tirées par des bœufs. À méditer devant son prochain punch…. 

Changement de décor à Altos de Chavón, déconcertante reconstitution d’un village italien du 16e avec son église, son musée d’archéologie et son amphithéâtre de cinq mille places, qui impressionne surtout pour le panorama, en surplomb du fleuve homonyme.

Playa Dominicus - Bayahibe © photopixel - stock.adobe.com

D’ailleurs on ne saurait trop conseiller une balade dans ses méandres aux allures de petite Amazonie… jusqu’à apercevoir de luxueuses villas : La Romana, le Saint-Trop des Caraïbes, l’annexe balnéaire de la jet set internationale. Née sous le signe du business, elle doit son nom à la balance romaine que l’on installait dans les ports pour peser les marchandises.

On poursuit vers le parc national de l’Est, à Bayahibe. Un sentier écologique autant que bucolique se fraie dans la végétation tropicale ; à l’arrivée, un escalier qui s’enfonce sous la terre : la grotte del Chicho atteste, par de discrets pétroglyphes de la présence des Indiens taïnos. Mais le trésor est ailleurs, dans ses entrailles qui délivrent un lac souterrain aux eaux incroyablement pures.

Samaná, une presqu’île, mille possibilités

Samaná, une presqu’île, mille possibilités
El Limón © Zaneta - stock.adobe.com

Tel un chat qui s’étire, avec sa cordillère qui fait le dos rond, sa longue queue de sable blanc et sa patte posée entre océan Atlantique et une baie somptueuse, la péninsule de Samaná est une séductrice : elle a d’ailleurs conquis le cœur d’une poignée de Français qui, il y a près de 50 ans, a investi le village de Las Terrenas : des façades bien léchées, des magasins tout proprets et, quand sonne l’heure de l’apéro, comme un goût de pastis.

Et puis il y a les excursions, pléthoriques. Qu’on y accède à cheval ou à pied entre rivière et dense forêt, El Limón, cascade haute de 40 m d’eau éclaboussant une piscine naturelle engrange tous les suffrages.

Cayo Levantado © Roxana - stock.adobe.com

C’est sans compter le parc national de Los Haïtises accessible par Sánchez, petite cité portuaire aux maisons victoriennes délicatement ouvragées ou par Santa Bárbara de Samaná. Barbara, c’était le nom de l’épouse du roi Ferdinand IV et Samaná, celui du chef qui accosta en ce lieu. Détail amusant, la ville devait devenir la capitale de l’île et être baptisée… Port-Napoléon. Aujourd’hui, on embarque pour Los Haïtises donc, un monde aux étonnantes formes minérales, aux mangroves hirsutes, aux grottes criblées de gravures taïnos et aux oiseaux multicolores.

Vous êtes là entre janvier et mi-mars ? À vous les baleines à bosse venues se reproduire dans les eaux chaudes de la baie. Un petit tour par Cayo Levantado, idyllique îlot. Et voilà que vous prend l’envie de dégoter votre plage. Rincón, Cosón, Popy, Morón… Vous n’aurez pas assez d’un séjour pour trouver votre coin de paradis comme à Las Galeras, théâtre de la première des batailles entre Ciguayos et Espagnols et ultime hameau de la péninsule.

Puerto Plata, la victorienne

Puerto Plata, la victorienne
Puerto Plata - Eglise © oleksandra - stock.adobe.com

Le Port d’Argent. Le nom seul intrigue. La légende l’attribue aux reflets d’argent de l’océan. Pour sulfureuse qu’a longtemps été sa réputation – elle a essuyé les plâtres de l’éclosion du tourisme dans le pays –, on se montre curieux de l’histoire de Puerto Plata. Car du cachet, elle en a, cette ville au cœur de la côte d’Ambre ! Avec ses maisons coloniales dopées au style victorien, son église étincelante de blancheur et son inévitable Malecón...

Et pour s’en persuader, on gravit la colline Isabel de Torres, couronnée d’un Christ rédempteur, moitié moins haut que celui de Rio. À pied, c’est 2 h 30. Comptez 30 min en voiture mais à peine 10 min en téléphérique ! Du temps de gagné pour profiter du jardin botanique et de la forêt qui habillent le sommet.

Autre point dominant, le fort Saint Philippe, érigé par les Espagnols au 16e siècle, transformé en musée. Et c’est en plein cœur de ville que l’on visite le musée de l’Ambre dans une demeure néo-classique. Un petit coup de chaud ? On file admirer les 27 cascades de Damajaqua :  assurément le spot pour les sensations fortes.

Cabarete, la Mecque de la glisse

Cabarete, la Mecque de la glisse
Plage Cabarete © Matyas Rehak - stock.adobe.com

D’abord il y eut la planche à voile. Puis vint le surf, presque détrôné par le kite surf que vient désormais taquiner le stand up paddle : campé sur la côte nord, à ¾ d’heure de route de Puerto Plata, Cabarete est La Mecque sportive dominicaine. Sa réputation s’est bâtie en quelques années, d’abord chuchotée par le bouche-à-oreille avant de devenir incontournable : s’y tiennent une étape de la coupe du monde de kite et le Master of The Ocean, le graal de la glisse : pour conquérir le titre, il faut maîtriser les quatre disciplines.

À chaque plage ses adeptes. Au windsurf, la plus grande, au cœur du village. Kitebeach, la bien-nommée, sied aux débutants… à condition de se cantonner au rivage. On réserve les déferlantes du large aux bons riders, comme la plage d’Encuentro et ses spots bien hots. Pour le freeride, direction Bozo Beach quand le freestyle se pratique à La Boca. Même si les alizés soufflent ici en permanence – entre 20 et 25 nœuds de décembre à août – le vent prend son temps pour monter en puissance.

Ras la planche ? Entre le canyoning, les galops sur la plage et la plongée sous-marine, les activités ne manquent pas. Et l’ambiance ? Cool autant que sportive dans la journée, elle devient enfiévrée et festive à la nuit tombée, douce et lascive au petit matin…

Monte Cristi, un autre bout du monde

Monte Cristi, un autre bout du monde
La Isabela - Ruines © Thomas Grau - stock.adobe.com

Pour remonter le temps, il faut se diriger plein ouest, dans une région qui délaisse les resorts et puise dans l’authenticité. Des champs de coton, de maïs et de canne à sucre ponctuent les quelque 40 km depuis Puerto Plata.

On arrive à La Isabela, fondée en 1493 par Christophe Colomb himself. Il faut faire assaut d’imagination pour voir, dans ces quelques ruines, le siège de l’administration coloniale créé par l’amiral ! On se console facilement en arrivant au sanctuaire marin d’Estero Hondo : il abrite le plus grand nombre de lamantins des Caraïbes.

El Morro - Marais salants © Pedro - stock.adobe.com

Un petit port de pêche, quelques cabanes de bambou et des eaux turquoise : Punta Rucia joue, à raison, les coquettes. Il faut s’avoir s’aventurer, emprunter le chemin le plus mauvais, la route Duarte : comme un présage, le relief s’ensauvage, boudant l’opulence ; des cactus qui lèvent leurs bras hérissés de piquants, un fouillis de broussailles et voilà qu’apparaît ce morne à deux bosses, el Morro.

De part et d’autre de son dos caillouteux, on surplombe les marais salants et l’océan. À bord d’une lancha, ces embarcations à fond plat, on se perd dans les chenaux bordés de mangrove, on déguste une huître de palétuvier avant de rejoindre Monte Cristi, ultime bourgade avant Haïti. Une église qui se targue de ressembler à Notre-Dame de Paris, une horloge aux allures de tour Eiffel, et cette impression d’être dans une autre dimension, un côté Paris Texas à la sauce dominicaine.

Cordillère et Pico Duarte : les Alpes, version Caraïbes

Cordillère et Pico Duarte : les Alpes, version Caraïbes
Cascade Jimenoa © Matyas Rehak - stock.adobe.com

Boudant les bleus maritimes, on s’enhardit au cœur du pays, grimpant vers le nord par l’escalier de trois cordillères. Direction Jarabacoa, à 2 h de route de la capitale. Premier étonnement, les ranchs, nombreux, les élevages réputés. Pour se mettre en jambe, on s’aventure jusqu’aux cascades de Jimenoa ou de Bayagate, promesse de plongeon rafraîchissant.

Un peu plus d’adrénaline ? C’est possible en pratiquant le rafting dans le Rio Yaque del Norte, plus long fleuve du pays.

Vous préférez rester au sec ? Visez le parc national Armando Bermudez. La Ciénega annonce l’entrée du site, à 1 180 m d’altitude. Un échauffement de 5 km jusqu’à Los Tablones, un agréable ruisseau et, pour les randonneurs, 2 jours de trekking pour conquérir le Pico Duarte, point culminant de toutes les Caraïbes avec ses 3 098 m. La récompense ? Ce formidable lever du soleil qui embrase toute la cordillère.

Dopé par la diversité des paysages, on poursuit vers Constanza, peut-être une des villes les plus inattendues du pays. D’abord poussent fraises et pêches, asperges et brocolis sur ces terres fertiles mais, surtout, on y croise les descendants d’une colonie japonaise installée ici à la fin des années 1950. Vous avez dit insolite ?

Top 5 des plages les plus étonnantes de la République dominicaine

Top 5 des plages les plus étonnantes de la République dominicaine
Isla Saona © bruno ismael alves - stock.adobe.com

Avec 600 km de plages, avouons que c’est une gageure de sélectionner les plus belles de République dominicaine. Petit florilège de coups de cœur. Auquel vous n’aurez plus qu’à inscrire le vôtre…

La plus célèbre

Elle prend ses aises sur Isla Saona dans le parc national del Este, à 1 h 30 de navigation de Punta Cana. Avec ses fonds que taquinent les poissons, elle véhicule une image de carte postale ; pas étonnant qu’elle fasse l’objet d’un ballet d’excursions qui ne fera pas de vous un Robinson, mais assureront le parfait cliché instragrammable.

La plus pittoresque

Un lagon translucide, des galets polis par l’océan : voici le balneario de Los Patos. Traduire une piscine naturelle. Tout en eau douce, elle provient de la rivière éponyme pour mêler ses eaux fraîches à celle de l’océan. Il faut y venir en week-end, lorsque les enfants s’y ébattent joyeusement, que les radios époumonent leur merengue, et que les restaurants de plage éparpillent tables et sièges en plastique colorés.

La plus insolite

Une falaise, ou plutôt un morne haut de 242 m surplombe Playa El Morro, conférant au site un aspect insolite. Elle compte certainement parmi les moins connues ; et pour cause, encore peu de touristes s’égarent en direction d’Haïti sur la côte nord.

Playa de las Aguilas © Bankerok - stock.adobe.com

La plus sauvage

Playa de las Aguilas, la plage des Aigles, est certainement l’une des plus spectaculaires du pays. Et des plus inaccessibles. Une piste rougie par la latérite, une barque de pêcheur et ce morceau d’éden caché dans le parc national de Jaragua réserve à ses rares visiteurs l’émeraude cristallin de ses eaux veillées au-delà de son sable immaculé par une armée de cactus, à peine troublé par le ballet des frégates et de pélicans.

La plus rustique

La piste qui mène à Playa El Valle est assez mauvaise pour en décourager plus d’un, mais c’est l’assurance de rarement croiser un touriste ! Des barques de pêcheurs et du sable doré, une forêt sombre et des falaises ocrées, et ce petit restaurant au poisson bien frais. Les courants peuvent être forts, alors on reste sur le bord.

Cigares, cacao et merengue : savourer les trois gloires dominicaines

Cigares, cacao et merengue : savourer les trois gloires dominicaines
Cigares Premium © Thomas - stock.adobe.com

Cap sur la ville de Santiago de los Caballeros et la vallée de Cibao qui glisse ses terres fertiles entre deux chaînes montagneuses : tout pousse ici, des bananes à la canne, du cacao au tabac. Car c’est bien la République dominicaine qui, avec plus de 210 millions de pièces, est le 1er exportateur de cigares Premium au monde.

Dès le 16e siècle, le pays exportait le tabac sur le Vieux Continent ! Mais une querelle entre Fidel Castro et un certain Zino Davidoff mit le feu aux poudres. Rancunier, l’illustre fabricant chercha un autre lieu de production et fit de la région de Santiago son fief. Aujourd’hui, c’est Hendrik Kelner, le Monsieur Davidoff local, qui préside le festival Procigar qui se tient en février chaque année.

Autre fierté locale, le cacao, considéré jusque dans les années 1980 comme de qualité moyenne, il a hissé le pays à la 10e place des exportateurs dans le monde et s’est imposé comme le leader incontesté du cacao biologique. Bien sûr, il est possible de visiter des plantations, de déguster du chocolat, et d’en rapporter !

Merengue - Instruments © Александр Параев - stock.adobe.com

On le sait peu, mais Santiago est aussi le berceau du merengue, mélange de rythmes et de danses africaines inventé vers 1850. Issu de la meringue haïtienne ? À moins que cette dernière ne dérive de la danse dominicaine : la controverse fait toujours rage.

D’abord mise à l'écart par les classes privilégiées, avant de se répandre à New York puis en Europe, le merengue traditionnel fait appel a minima à l’accordéon, la güira – un idiophone – et au tambour.

Une danse à deux temps, un déhanchement prononcé, rien de tel pour faire connaissance en soirée. Pas un village qui ne crache ces décibels à longueur de journée, pas une discothèque qui n’encense ces chanteurs. Mais s’il est un lieu pour vraiment l’apprécier, c’est au car wash, les stations de lavage des voitures : ambiance caliente assurée !

Pour en savoir plus

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Texte : Pascale Missoud

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