Rappelons qu’il est actuellement formellement déconseillé de se rendre au Mali.
Parcourir les ruelles de la ville de Djenné, dominée par la plus grande mosquée en banco du monde. Au Pays dogon, dormir sur la terrasse d’un campement villageois, au pied de la falaise, et, au petit matin, découvrir la masse rocheuse qui se découpe au-dessus de soi. Découvrir le pays au rythme du fleuve Niger, qui traverse tranquillement ses principales villes. Visiter le Musée national de Bamako et s’émerveiller devant les trésors culturels du Mali...
Entre monts et fleuves, une ville coloniale devenue une capitale active ; son Musée national, ses bâtiments de style nécoclassique ou néosoudanai
Douentza peut être une bonne base pour atteindre les villages dogons de la plaine, puis ceux de la falaise. Important marché le dimanche
Une paroi rocheuse entrecoupée de failles, refuge des peuples Dogons ; une région classée à l’Unesco, parsemée de villages dogons parfois accrochés à la falaise
Capitale de l’ancien Empire bambara aux maisons de banco rouge et ocre ; façades et cours ouvragés, vestiges bien entretenus
Ville connue pour son architecture de banco homogène, classée à l'Unesco ; la grande mosquée, magnifique exemple d'architecture soudanaise, le marché, les ateliers d'artisans
« Venise malienne » ou « ville du Poisson », construite sur 3 îles reliées par des digues ; grand port de pêche ; la mosquée de Komoguel inscrite à l'Unesco, et les maisons en banco
Aux portes du désert, une cité chargée d’histoire, ancien centre intellectuel et religieux ; une cité qui reconstruit ses mausolées après le passage des djihadistes