Prendre sa “retraite” en revenant au pays est une “aventure” nouvelle qui doit prendre en compte les changements dans le confort de vie au quotidien connu sur le sol français … Comme suivis médicaux et capacité à trouver ce qu’il faut pour se soigner … facilités de déplacements quand la marche ne devient plus aussi aisée … alors que les transports en commun ne présentent pas les mêmes commodités … le climat d’hiver d’autant plus difficile à supporter que les constructions ne présentent pas, en Tunisie, les mêmes performances d’isolation et de chauffage qu’en Europe … Alors que les étés seront d’autant plus “étouffants” que l’on a perdu la facilité, avec l’âge, d’aller se rafraîchir à la plage …
Pourtant il y a des demi-saisons, suivant les régions tunisiennes, très attractives pour les personnes âgées, y trouvant, en dehors des foules, une qualité de vie tout en rapport avec les attentes des aînés.
L’idéal, c’est de pouvoir partager son temps entre les deux pays en sauvegardant un “pied à terre” en France et une maison en Tunisie suivant les meilleurs moments. C’est seulement une question de moyens.
Quand il arrive enfin que l’on soit obligé, par disponibilité physique le plus souvent, de faire le choix, on reste chez soi … à l’endroit qui présente le plus d’intérêts.
Tout cela mérite réflexion et calculs, car plus rien n’est gratuit ! Il n’y a pas de solution réellement miraculeuse pour préconiser telle ou telle solution.
Mais cela n’est que mon humble avis … après avoir vécu l’expérience …