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Musées et sites

musee du prado madrid Musée du Prado, Madrid © milosk50 - Adobe Stock

Les sites majeurs sont tous payants, mais restent assez abordables (3 à 6 €). Certains d’entre eux proposent l’entrée gratuite un jour par mois : mieux vaut alors arriver à l’ouverture. Les musées mineurs sont peu coûteux (entre 1 et 3 €) ; un tiers environ est même gratuit. Et parmi ceux qui sont payants, quelques-uns accordent la gratuité aux citoyens de l’Union européenne (avoir son passeport ou sa carte d’identité). Les enfants, les retraités et les étudiants bénéficient souvent de réductions ou de la gratuité mais doivent présenter un justificatif.

A contrario, les églises de renom sont parfois payantes !

Attention également, les prix augmentent souvent au printemps ou au début de l’été, donc à une période où notre guide est déjà en librairie : cela peut expliquer certains décalages entre les tarifs que nous annonçons et les tarifs réels...

Horaires

Important : pour les horaires, les indications sont parfois contradictoires ; il y a les horaires officiels de l’office de tourisme, les horaires indiqués et relevés sur les sites eux-mêmes, les prospectus... et la réalité. Certains petits musées municipaux, par manque de budget, réduisent leurs horaires d’ouverture d’un mois sur l’autre ou ferment occasionnellement, voire plus. Nous vous indiquons ceux effectivement relevés, à prendre donc avec précaution.

- Les jours fériés (fêtes de fin d’année et Semaine sainte en particulier), les horaires sont restreints et encore plus incertains : dans les grandes villes, les offices de tourisme disposent alors en général d’une fiche stipulant les horaires modifiés.

Chemins de Compostelle

coquilles saint jacques Coquilles Saint Jacques, Compostelle © Gena Melendrez - Adobe Stock

Que votre voyage soit entrepris pour un motif religieux ou non, n’oubliez pas de vous munir de la credencial del peregrino (carnet de pèlerin), que vous ferez tamponner à chaque étape. En France, vous pouvez l’obtenir avant votre départ auprès d’une association jacquaire, ou en commander un exemplaire (10 €) sur le site chemins-compostelle.com. Preuve de votre itinérance, elle vous donnera accès aux lits des auberges municipales, paroissiales et régionales réservées aux pèlerins. Ce sont elles qui affichent les tarifs les plus bas. Pratique : on vous y remettra la liste des refuges des villes-étapes suivantes. Parvenu à Santiago, la credencial permettra à ceux qui ont marché ou chevauché pendant les 100 derniers kilomètres, ou encore fait les 200 derniers kilomètres à vélo, d’obtenir auprès de l’accueil des pèlerins de Santiago un certificat nommé la Compostela.

Sachez que, dès le mois d’avril, le Camino francés est presque surchargé, et les auberges publiques pleines dès leur ouverture à 13h (elles restent ouvertes jusqu’à 22h)... Certains pèlerins n’hésitent pas à partir à l’aube pour être sûrs de trouver une place à l’étape suivante... une véritable course d’endurance pour trouver un lit dans les auberges du réseau public, qui n’acceptent pas de réservations : 1er arrivé, 1er servi !
Autre solution, les nombreuses auberges privées, certes un peu plus chères, qui affichent rarement complet et dont les horaires sont plus souples.
Sachez encore que les pèlerins à pied sont accueillis en priorité dans les auberges publiques, suivis de ceux qui se déplacent à vélo et à cheval, et cela pour une nuit seulement.
En dehors des raisons historiques, si le Camino francés est le chemin le plus emprunté, c’est aussi parce qu’il est le mieux signalisé, le plus sûr et le mieux équipé en services. A contrario, la moindre affluence sur les autres Caminos (anglais, portugais, aragonais...) peut permettre de se loger plus facilement.

Traversant les siècles, les coquilles de pectens, que l’on voit partout, demeurent l’emblème du pèlerinage. Pourquoi elles ? Parce que jadis il restait encore quelques coquilles « Saint-Jacques » sur la plage de Padrón, que l’on distribuait aux pèlerins sur le parvis de la basilique : elles prouvaient qu’ils y étaient bien allés.
Désormais, l’usage veut que les pèlerins portent la coquille comme signe de reconnaissance dès leur départ et qu’ils la gardent jusqu’à Saint-Jacques. Une fois arrivé, on doit l’enterrer sur place, en terre galicienne.

D’un point de vue pratique, certains lecteurs nous ont fait part du mauvais accueil de la part de certains prestataires de services (restaurateurs et hôteliers connus sur ces chemins comme les hospitaleros) sur le très populaire Camino francés. La rude concurrence entre eux, leurs gains limités n’y sont pas pour rien.
Mais, plus encore, c’est l’attitude de certains pèlerins ou marcheurs qui semble être en cause : un manque de politesse fréquent, des exigences de réductions ou de gratuités.
Les tarifs restent pourtant clairs, et modestes : la nuitée dans les auberges, publiques ou privées, coûte entre 8 et 17 € ; les petits déjeuners varient entre 3 et 6 €, les menus du midi et du soir entre 8 et 12 €. L’effort physique est indiscutable ; la fatigue s’accumule et l’humeur peut parfois en pâtir. Mais, au final, le pèlerinage doit aussi être convivial et source de partage.

Sachez, enfin, que les fêtes jubilaires ont lieu lorsque la fête de saint Jacques, le 25 juillet, tombe un dimanche. On parle alors d’année jacquaire. Tombant selon un cycle de 6/5/6/11 ans, elles auront lieu, les prochaines fois, en 2027 et 2032. Vous verrez alors s’ouvrir la porte sainte de la basilique, dont l’encadrement de granit noir et poli est creusé par la main de millions de pèlerins.

Sports et loisirs

D’abord et surtout, le fútbol. On trouve en Espagne les plus grands stades européens, et une équipe nationale (championne du monde en 2010) dépitée depuis juillet 2014 par son élimination de la Coupe du monde dès le 1er tour, puis par celle lors de l’Euro 2016 (où elle était également tenante du titre). Les grands clubs sont l’orgueil des villes. Vigo vibre avec le Celta et La Corogne avec le Deportivo, les 2 phares footballistiques de la région.

Ensuite, le cyclisme : nombreuses courses provinciales et locales. Le cyclotourisme est une activité qui a le vent en poupe en Catalogne !

Enfin, le tennis a aussi la cote.

Pratiquement pas de pelote, mais des sports d’eau comme le rafting, le canyoning, le canoë-kayak, qui se pratique aussi dans les rías galiciennes, à côté de la voile. Les sports d'eau vive sont aussi une spécialité des Pyrénées.

La Cantabrie pratique un sport qui, s’il n’a pas dépassé les limites de la région, y est aussi populaire que le football : les bolos. Un traditionnel jeu de quilles, entre – pour vous faire une idée – le bowling et la pétanque.

Dans les montagnes, on peut pratiquer le parapente, la randonnée (avec les Pyrénées dans sa partie septentrionale, la Catalogne ravira tous les randonneurs), ou le saut à l’élastique. Mais il s’agit plus d’activités à l’usage des touristes que de sports vraiment populaires.

En matière de ski et sports d'hiver, la Catalogne s’enorgueillit de posséder les équipements parmi les meilleurs d’Espagne.

Ce qui devrait être populaire dans le Nord-Ouest de l'Espagne, c’est l’équitation. Toute l’Espagne du Nord est une importante zone d’élevage de chevaux de sang.

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