Le Venezuela, grandeur nature

Dormir dans un campamento

Dormir dans un campamento
Jean-Philippe Damiani

Bien évidemment, on ne s’aventure pas tout seul dans la « jungle » des Llanos, mais avec des accompagnateurs qui la connaissent. Deux types de safaris s’offrent à vous : tout d’abord, ceux organisés par les hatos (des ranchs assez chic) sur leurs terres. Les grands propriétaires terriens, reconvertis dans l’écotourisme, font ainsi découvrir la biodiversité de leurs domaines.

L’autre solution, les campamentos, s’avère moins onéreuse et nettement plus sympa. Tenus par des habitants de communautés avoisinantes, les campamentos, d’un confort plus rudimentaire, font partager la vie des Llaneros, en goûtant à leur cuisine et en partant en safari en leur compagnie. Les recettes générées par le tourisme permettent d’aider la communauté.

Ainsi, le campamento Cañafistola, situé dans les environs de Mantecal, fait vivre quatre familles locales. « Trois quarts des gens qui y travaillent sont originaires d’ici » explique José, le maître d’école du campamento. Pour la petite histoire, son école a vu le jour en 2002 grâce au soutien du lycée français de Caracas. Chaque année, des échanges ont lieu entre les enfants de la ville — dont des petits Français — et ceux de Cañafistola, dont l’école survit en partie grâce à l’argent des touristes.

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Texte : Jean-Philippe Damiani

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