Carte d'identité Venezuela

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- Nom officiel : république bolivarienne du Venezuela.
- Superficie : 916 445 km².
- Population : 28,5 millions d'habitants (estimation 2019), dont près de 94 % résident dans les villes (c’est le pays le plus urbanisé d’Amérique Latine).
- Capitale : Caracas.
- Monnaie : le bolívar soberano, bolivar souverain (depuis août 2018).

- Président : Nicolás Maduro (dauphin désigné de Hugo Chávez, élu président en avril 2013, réélu en mai 2018). Il est contesté par Juan Guaido (président de l’Assemblée nationale vénézuélienne), qui s'est autoproclamé en janvier 2019 président par intérim du Venezuela.
- Langues : 92 % de la population parle l’espagnol. Il existe plusieurs langues amérindiennes, appartenant aux familles arawak, chibcha et tupi-guarani.
- Ethnies : 2 % de la population est d’origine amérindienne (28 ethnies), 67 % de métis, 21 % d’origine européenne (Italie, Espagne, Portugal, Allemagne), 10 % d’origine africaine.
- Religions : 96 % de catholiques romains, 2 % de protestants, 2 % d'autres religions.
- Taux de chômage : 7,8 % (estimation 2012).
- Espérance de vie : 72,1 ans.
- Taux d'alphabétisation : 97,1 %.
- Sites inscrits au Patrimoine mondial de l'Unesco : Coro et son port (1993) ; le parc national de Canaima (1994) ; la Ciudad Universitaria de Caracas (2000).

Économie

En 2002, une tentative de coup d’État, une grève générale et une paralysie de la production pétrolière ont mis le Venezuela à rude épreuve, et plongé l’économie dans la récession. Le taux de chômage a frôlé les 20 % et la pauvreté a touché 60 % des foyers.

Depuis 2006, le Venezuela est un membre actif du Mercosur, le marché commun d'Amérique du Sud.

Le Venezuela dispose de de nombreuses ressources énergétiques : pétrole (le Venezuela est le premier producteur pétrolier du continent américain, et possède les premières réserves mondiales de pétrole brut), ressources minières, hydrauliques et agricoles.

Prônant une politique sociale volontariste, Hugo Chávez affichait son intention de mener le pays vers une meilleure redistribution des richesses, et notamment de la rente pétrolière, tout en profitant de l'indépendance énergétique et des capitaux issus de la manne pétrolière (le Venezuela est membre de l'OPEP). Hugo Chávez entendait mener le pays sur la voie du socialisme par le biais d'une « révolution bolivarienne ».
Le programme de nationalisations a pris de l'ampleur sous la présidence Chávez. Le patronat, jugeant qu'un certain nombre de mesures allaient à l'encontre du droit à la propriété privée, s'est alors mis en grève. De nombreux programmes sociaux (les misiones) ont été lancés dans les quartiers pauvres.
Nourrie par les cours élevés du pétrole, le Venezuela a affiché l'un des taux de croissance les plus élevés d'Amérique latine jusqu'en 2012.

Mais dans les faits, le pouvoir restait concentré entre les mains de Chávez. Depuis, la chute des cours du pétrole a renversé l'équilibre économique d'un pays fortement dépendant de l'or noir, qui représentait une très large part de ses exportations et de ses recettes. Le prix du baril de pétrole a chuté. Le phénomène a provoqué une sévère récession, et une inflation galopante, qui a dépassé les 180 %.

Aujourd'hui, le gouffre entre riches et pauvres demeure béant. En 2017, une profonde crise économique a provoqué des mouvements sociaux de masse. Les importations ont fortement baissé. La situation sanitaire s'est dégradée, le pays souffrant même depuis 2017 de pénuries de produits d'alimentation, de biens de consommation courante et de médicaments. Une situation que n'est pas venue arranger la crique politique de 2019.

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