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Forum Pérou
Trek de l'Ausangate. Alpagas et neige. Face au géant des lieux
Dernière activité le 11/02/2021 à 12:02

Le 11 février 2021
Vous pouvez retrouvez le carnet de voyage complet : Sur la route de nos voyages
Et l'épisode précédent (il décrit l'organisation du trek et l'itinéraire emprunté) sur le site du Routard : Trek de l'Ausangate, des paysages somptueux.
Le jour suivant Alejandro est ponctuel. Nous l’accompagnons pendant qu’il termine les derniers achats, du poulet, quelques légumes et une bonbonne de gaz. Nous chargeons nos affaires dans sa voiture, un vieux break peu adapté à la piste que nous allons emprunter, et roulons jusque chez lui. Sa maison est située au milieu de nulle part à plusieurs kilomètres de Tinki. Pas d’eau courante, pas d’électricité. Les toilettes consistent en un trou dans le sol dans une petite annexe du bâtiment. Lorsque nous arrivons, deux de ses fils transportent de lourds sacs de compost qu’ils épandent dans un champ. Trois poules picorent dans la cour, peu effarouchées par l’agitation autour d’elles.
Dans le lointain Basilo arrive avec deux mules, tandis qu’un jeune homme s’approche également de la maison. Alejandro nous le présente comme notre guide durant le trek. « Comment ça ? Mais ce n’est pas toi notre guide ? ». Nous comprenons alors ses propos de la veille ! Sa femme n’est pas « seulement » enceinte, elle est sur le point d’accoucher. Alejandro souhaite rester à ses côtés et ne pourra pas nous accompagner. Notre guide sera donc Herbert. « Il connait parfaitement le chemin. » Nous sommes à moitié rassurés.
Pas le temps de tergiverser, nous aidons à préparer le chargement qui sera porté par les mules. On remarque que Basilo est très expérimenté. Il est parfaitement organisé, chaque objet a une place définie. Un dernier inventaire est effectué, rien ne semble manquer. Les différents paquets sont rapidement constitués et répartis sur le dos des mules. Notre petit groupe est prêt à partir.
Nous ressentons une légère appréhension. Nous partons pour sept jours de marche, principalement au-dessus de 4000 mètres d’altitude, avec des passages de cols à 5000 mètres. Les nuits s’annoncent froides et sans confort. Et nous dépendons de deux personnes que nous ne connaissons pas, Herbert qui nous guidera et Basilo qui transportera nos affaires.
Nous quittons Alejandro et débutons par trois heures de marche vers notre premier campement. Le temps ensoleillé du début de matinée s’est évanoui, laissant place à une épaisse couverture nuageuse. En face de nous se dresse la face nord de l’Ausangate, tandis que son sommet se cache dans les nuages. Un glacier couvre son pied tandis qu’au-dessus la paroi verticale empêche l’accumulation de neige et de glace. L’Ausangate est un Apu, une montagne sacrée, pour les communautés locales.
Nous traversons de vastes pâturages pour lamas et alpagas. En dehors de ces zones la végétation est rase. Rien ne pousse à part de l’herbe, grillée par l’altitude et le Soleil. Un sol marécageux nous oblige à effectuer un détour. Quelques habitations sont dispersées aux alentours, accessibles uniquement à pied ou à moto. Ce début de trek est facile, nous suivons un long faux-plat montant et le rythme de marche est tranquille.
Nous arrivons en début d’après-midi à Upis (4400 mètres d’altitude), lieu de campement du jour. La vue sur l’Ausangate est imprenable. La montagne, constituée de roches noires, parait presque effrayante.
Basilo est déjà arrivé. Il a déchargé les mules et installé notre tente. Nous l’aidons à monter la « tente mess », où nous prendrons nos repas et où lui et Herbert dormiront. Il est maintenant temps de se détendre dans les sources d’eaux chaudes du coin. Les locaux ont aménagé un bassin et des vestiaires. Malheureusement rien n’est entretenu, l’endroit ressemble à une porcherie et l’eau dans le bassin est à peine tiède. Nous allons nous baigner malgré tout. Un vieil homme habitant à proximité s’empresse de venir nous réclamer le droit d’entrée (10 soles) !
La suite de la journée s’écoule tranquillement. Nous gardons des forces pour les jours à venir. La température décline progressivement, la nuit s’annonce froide. Les mules, qui passeront la nuit en liberté, sont parties brouter à quelque distance. Après le diner il est temps de regagner notre tente.
Nous sommes réveillés au petit matin par Basilo qui nous apporte deux tasses de maté de coca. Il s’agit d’une infusion de feuilles de coca qui nous réchauffe agréablement. Cela permet également de lutter contre le mal des montagnes et a un effet énergisant. Les feuilles de coca peuvent également être consommées en mastication.
Nous émergeons avec difficulté de nos sacs de couchage, le froid est mordant à l’intérieur de la tente. En sortant la tête dehors, surprise, il neige. Le sol est couvert de quelques centimètres de poudreuse. Nous avons l’impression d’être au cœur d’un paysage en noir et blanc. Neige, glacier et ciel pour le blanc. Paroi verticale de l’Ausangate et roches aux alentours pour la touche de noir.
Nous prenons le petit-déjeuner et rangeons nos affaires. Pendant ce temps nos deux guides démontent la tente mess et chargent les mules.
Il est 7h30 ; nous partons, en compagnie de Herbert, pour une matinée de marche. Peu après le départ Basilo et ses mules nous dépassent au pas de course. Nous ne les reverrons pas avant la pause déjeuner.
Le chemin s’élève doucement mais régulièrement en direction du col Arapa à 4850 mètres d’altitude. Chaque pas nous rapproche de l’Ausangate et du glacier. Le sommet de la montagne refuse de se dévoiler, caché dans les nuages. Un troupeau d’alpagas traverse devant nous. Nous avançons à un bon rythme même si la neige complique la marche.
Arrivés au col quelques rayons de soleil percent la couverture nuageuse.
La fine couche de poudreuse fond rapidement, dévoilant un sol vierge de toute végétation. A cette altitude rien ne pousse, pas même de l’herbe ou des touffes de mousse. La vue à 360 degrés est fantastique. Derrière nous, le chemin parcouru. Devant, la suite du programme. A notre gauche, une nouvelle face du géant des lieux commence à apparaitre, également couverte par un glacier. A droite, des montagnes au relief plus doux, dont les teintes pastel contrastent avec la noirceur de l’Ausangate.
Nous entamons la descente, rendue glissante par la neige fondue. En fin de matinée nous arrivons aux abords des lagunas Pucacocha et Jatun Pucacocha. Le second lac, d’un magnifique vert, scintille lorsque la luminosité est plus forte. En arrière-plan nous voyons enfin le sommet de l’Ausangate. Un impressionnant glacier domine le lac Jatun Pucacocha, comme suspendu au-dessus des eaux.
Après une courte pause pour profiter des lieux nous revenons sur nos pas et contournons le lac Pucacocha. Nous quittons le chemin classique du trek de l’Ausangate et empruntons un sentier à peine marqué.
Une petite montée nous amène au bord d’un nouveau lac. Cela fait 4 heures que nous marchons. Surprise Basilo a monté, seul, la tente mess à proximité. Nous déjeunons assis, autour d’une table, protégés du vent. Le grand luxe !
Tous les repas pendant le trek seront bons et variés. Nous ne mangerons pas deux fois le même plat. La plupart du temps les menus consistent en une soupe, un plat et un dessert. Nous aurons droit à des crêpes, des pancakes, du pain avec confiture et des omelettes au petit-déjeuner. Pour les autres repas, poulet, riz, quinoa, pommes de terre, lomo saltado, légumes, pain à l'ail, truite, spaghettis bolognaise... Et même du pop-corn pour le goûter !
La nourriture rythmera d’ailleurs nos journées, maté de coca au réveil, petit-déjeuner, déjeuner, goûter puis dîner !
Revigorés par cette heure de pause et le repas nous sommes prêts à repartir. Trois heures de marche nous attendent. En prenant de la hauteur le mont Ausangate et plusieurs lacs à son pied se dévoilent. Un immense glacier couvre la montagne, brièvement éclairé par un timide rayon de soleil.
Des touffes d’ichu (une plante herbacée typique de l’Altiplano) parsèment le sol. Nous passons un nouveau col couvert d’une terre rougeâtre.
En dernier effort et nous arrivons en vue du campement du jour. Une épaisse couche nuageuse obstrue à nouveau le ciel. Il se met à grêler et un vent glacial souffle en continu. Il fait encore plus froid que le veille. Notre tente pour la nuit et la tente mess sont déjà installées. A proximité une cabine, une simple bâche plastique soutenue par quatre pieux en bois, fait office de toilettes !
Nous profitons de la fin d’après-midi pour nous reposer. En début de soirée il commence à neiger. De gros flocons tombent dru et recouvrent rapidement le sol. Le détour vers Vinicunca, prévu pour le lendemain, semble compromis. Il n’y a pas d’intérêt à aller voir la montagne colorée si elle est cachée sous la neige ! Nos deux guides restent malgré tout confiants...
A suivre...
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Et l'épisode précédent (il décrit l'organisation du trek et l'itinéraire emprunté) sur le site du Routard : Trek de l'Ausangate, des paysages somptueux.
Le jour suivant Alejandro est ponctuel. Nous l’accompagnons pendant qu’il termine les derniers achats, du poulet, quelques légumes et une bonbonne de gaz. Nous chargeons nos affaires dans sa voiture, un vieux break peu adapté à la piste que nous allons emprunter, et roulons jusque chez lui. Sa maison est située au milieu de nulle part à plusieurs kilomètres de Tinki. Pas d’eau courante, pas d’électricité. Les toilettes consistent en un trou dans le sol dans une petite annexe du bâtiment. Lorsque nous arrivons, deux de ses fils transportent de lourds sacs de compost qu’ils épandent dans un champ. Trois poules picorent dans la cour, peu effarouchées par l’agitation autour d’elles.
Dans le lointain Basilo arrive avec deux mules, tandis qu’un jeune homme s’approche également de la maison. Alejandro nous le présente comme notre guide durant le trek. « Comment ça ? Mais ce n’est pas toi notre guide ? ». Nous comprenons alors ses propos de la veille ! Sa femme n’est pas « seulement » enceinte, elle est sur le point d’accoucher. Alejandro souhaite rester à ses côtés et ne pourra pas nous accompagner. Notre guide sera donc Herbert. « Il connait parfaitement le chemin. » Nous sommes à moitié rassurés.
Pas le temps de tergiverser, nous aidons à préparer le chargement qui sera porté par les mules. On remarque que Basilo est très expérimenté. Il est parfaitement organisé, chaque objet a une place définie. Un dernier inventaire est effectué, rien ne semble manquer. Les différents paquets sont rapidement constitués et répartis sur le dos des mules. Notre petit groupe est prêt à partir.
Nous ressentons une légère appréhension. Nous partons pour sept jours de marche, principalement au-dessus de 4000 mètres d’altitude, avec des passages de cols à 5000 mètres. Les nuits s’annoncent froides et sans confort. Et nous dépendons de deux personnes que nous ne connaissons pas, Herbert qui nous guidera et Basilo qui transportera nos affaires.
Nous quittons Alejandro et débutons par trois heures de marche vers notre premier campement. Le temps ensoleillé du début de matinée s’est évanoui, laissant place à une épaisse couverture nuageuse. En face de nous se dresse la face nord de l’Ausangate, tandis que son sommet se cache dans les nuages. Un glacier couvre son pied tandis qu’au-dessus la paroi verticale empêche l’accumulation de neige et de glace. L’Ausangate est un Apu, une montagne sacrée, pour les communautés locales.
Nous traversons de vastes pâturages pour lamas et alpagas. En dehors de ces zones la végétation est rase. Rien ne pousse à part de l’herbe, grillée par l’altitude et le Soleil. Un sol marécageux nous oblige à effectuer un détour. Quelques habitations sont dispersées aux alentours, accessibles uniquement à pied ou à moto. Ce début de trek est facile, nous suivons un long faux-plat montant et le rythme de marche est tranquille.
Nous arrivons en début d’après-midi à Upis (4400 mètres d’altitude), lieu de campement du jour. La vue sur l’Ausangate est imprenable. La montagne, constituée de roches noires, parait presque effrayante.
Basilo est déjà arrivé. Il a déchargé les mules et installé notre tente. Nous l’aidons à monter la « tente mess », où nous prendrons nos repas et où lui et Herbert dormiront. Il est maintenant temps de se détendre dans les sources d’eaux chaudes du coin. Les locaux ont aménagé un bassin et des vestiaires. Malheureusement rien n’est entretenu, l’endroit ressemble à une porcherie et l’eau dans le bassin est à peine tiède. Nous allons nous baigner malgré tout. Un vieil homme habitant à proximité s’empresse de venir nous réclamer le droit d’entrée (10 soles) !
La suite de la journée s’écoule tranquillement. Nous gardons des forces pour les jours à venir. La température décline progressivement, la nuit s’annonce froide. Les mules, qui passeront la nuit en liberté, sont parties brouter à quelque distance. Après le diner il est temps de regagner notre tente.
Nous sommes réveillés au petit matin par Basilo qui nous apporte deux tasses de maté de coca. Il s’agit d’une infusion de feuilles de coca qui nous réchauffe agréablement. Cela permet également de lutter contre le mal des montagnes et a un effet énergisant. Les feuilles de coca peuvent également être consommées en mastication.
Nous émergeons avec difficulté de nos sacs de couchage, le froid est mordant à l’intérieur de la tente. En sortant la tête dehors, surprise, il neige. Le sol est couvert de quelques centimètres de poudreuse. Nous avons l’impression d’être au cœur d’un paysage en noir et blanc. Neige, glacier et ciel pour le blanc. Paroi verticale de l’Ausangate et roches aux alentours pour la touche de noir.
Nous prenons le petit-déjeuner et rangeons nos affaires. Pendant ce temps nos deux guides démontent la tente mess et chargent les mules.
Il est 7h30 ; nous partons, en compagnie de Herbert, pour une matinée de marche. Peu après le départ Basilo et ses mules nous dépassent au pas de course. Nous ne les reverrons pas avant la pause déjeuner.
Le chemin s’élève doucement mais régulièrement en direction du col Arapa à 4850 mètres d’altitude. Chaque pas nous rapproche de l’Ausangate et du glacier. Le sommet de la montagne refuse de se dévoiler, caché dans les nuages. Un troupeau d’alpagas traverse devant nous. Nous avançons à un bon rythme même si la neige complique la marche.
Arrivés au col quelques rayons de soleil percent la couverture nuageuse.
La fine couche de poudreuse fond rapidement, dévoilant un sol vierge de toute végétation. A cette altitude rien ne pousse, pas même de l’herbe ou des touffes de mousse. La vue à 360 degrés est fantastique. Derrière nous, le chemin parcouru. Devant, la suite du programme. A notre gauche, une nouvelle face du géant des lieux commence à apparaitre, également couverte par un glacier. A droite, des montagnes au relief plus doux, dont les teintes pastel contrastent avec la noirceur de l’Ausangate.
Nous entamons la descente, rendue glissante par la neige fondue. En fin de matinée nous arrivons aux abords des lagunas Pucacocha et Jatun Pucacocha. Le second lac, d’un magnifique vert, scintille lorsque la luminosité est plus forte. En arrière-plan nous voyons enfin le sommet de l’Ausangate. Un impressionnant glacier domine le lac Jatun Pucacocha, comme suspendu au-dessus des eaux.
Après une courte pause pour profiter des lieux nous revenons sur nos pas et contournons le lac Pucacocha. Nous quittons le chemin classique du trek de l’Ausangate et empruntons un sentier à peine marqué.
Une petite montée nous amène au bord d’un nouveau lac. Cela fait 4 heures que nous marchons. Surprise Basilo a monté, seul, la tente mess à proximité. Nous déjeunons assis, autour d’une table, protégés du vent. Le grand luxe !
Tous les repas pendant le trek seront bons et variés. Nous ne mangerons pas deux fois le même plat. La plupart du temps les menus consistent en une soupe, un plat et un dessert. Nous aurons droit à des crêpes, des pancakes, du pain avec confiture et des omelettes au petit-déjeuner. Pour les autres repas, poulet, riz, quinoa, pommes de terre, lomo saltado, légumes, pain à l'ail, truite, spaghettis bolognaise... Et même du pop-corn pour le goûter !
La nourriture rythmera d’ailleurs nos journées, maté de coca au réveil, petit-déjeuner, déjeuner, goûter puis dîner !
Revigorés par cette heure de pause et le repas nous sommes prêts à repartir. Trois heures de marche nous attendent. En prenant de la hauteur le mont Ausangate et plusieurs lacs à son pied se dévoilent. Un immense glacier couvre la montagne, brièvement éclairé par un timide rayon de soleil.
Des touffes d’ichu (une plante herbacée typique de l’Altiplano) parsèment le sol. Nous passons un nouveau col couvert d’une terre rougeâtre.
En dernier effort et nous arrivons en vue du campement du jour. Une épaisse couche nuageuse obstrue à nouveau le ciel. Il se met à grêler et un vent glacial souffle en continu. Il fait encore plus froid que le veille. Notre tente pour la nuit et la tente mess sont déjà installées. A proximité une cabine, une simple bâche plastique soutenue par quatre pieux en bois, fait office de toilettes !
Nous profitons de la fin d’après-midi pour nous reposer. En début de soirée il commence à neiger. De gros flocons tombent dru et recouvrent rapidement le sol. Le détour vers Vinicunca, prévu pour le lendemain, semble compromis. Il n’y a pas d’intérêt à aller voir la montagne colorée si elle est cachée sous la neige ! Nos deux guides restent malgré tout confiants...
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