Kayan du camp de nai soi, camps nord

je suis l auteur de ces photos je tenais a ajouter un petit commentaire concernant les differente communautés photographier en asie du sud est cette photo represente une jeune femme de la communaute kayan lahwi originaire de la birmanie voisine dans " l etat kayan" leurs origines ancestrale remonterais j usqu en mesopotamie, ce qui pourais expliquer quelque peu le visage occidentalié de certaine personne ce que je voudrais surtout preciser, c est que ces refugiés sont reellement persecutes dans leur pays d orrigine, mais que leur statut en thailande est fortement criticable sans la nationnalité thail pour un cetain nombre d entre elles, il leur est impossible d acheter du terrain, et leur deplacement est tout de meme limite a mae hong son dans le meilleur des cas parequées dans 3 camps relativement facile a trouver pour un touriste, elles se sont retrouvées malgres elles mais finalement aussi avec profit au rang de curiosite touristique mondialement connue il regne dans ces camps tres photogeniques une ambiance a la foi resignée, decadente, opportuniste, j menfoutiste, et debrouillarde avec les moyens du bord elles ne manques pourtant pas de genillesse, et de curiosite vis a vis des touristes, et pour certaine le programe de scolarisation dans l ecole du camps, " le vrai, celui de 30 000 personnes" ou meme en internat a mae hong son, leur permet de tenir une excellente conversation dans plusieurs langues, y compris l espagnol et le francais finalement tout le monde tire profit de cette fameuse spirale du desespoire et de la providence il leur est interdit de retraverser la frontiere sous peine d etre violées et assassinées les autoritées birmane vouent un immense mepris pour les kayans qu ils surnome padaung. terme pejoratif qui signifie sauvage l administration thail donne 1500 baths par mois a chacune d entre elle pour le port de cette fameuse spirale qui rapelons le, n allonge pas le cou, mais ecrase d une facon irreversible la cage thoracique. par consequent la jeune generation, qui possede pas mal d elements en vue d une integration reussie, et qui n est plus concernée par la fameuse tradition "de la reine voulant echapper a la morsure du dragon" , se retrouve a porter cette spirale uniquement pour des raisons mercantils, soit 30 euros par mois les repercutions sont pour le moins desolantes, la communaute s ennuie a en mourire, les hommes sont presque totalement abscent puis qu ils n ont pas un visuel "interressant" etc... il est parfoi demande aux touristes un droit d entre frauduleux de 250 baths servant a financer un obscure fond de liberation armée pour l etat kayan bof a la saison chaude, correspondant a la saison faiblement touristique, un certain nombre d entre elles retirent cette spirale, histoire de respirer un peu les enfant sont bien souvent maquillés a outrance, les jeunes filles peuvent se payer le luxe de la coquetterie mais finalement le pire dans ce guetto du n importe quoi, c est que les réfugiés sans spirale, ceux de l estreme misere qui portent les charges avec leur front, qui travail dans les rizieres pres du camps de nai soi pour un salaire de 70 baths par jours, et que vous verrez en fin de journée rentrer dans le camps principale, ceux la dis je finissent par envier le sort ampoulé des kayan lahwi. personnellement je n ais jamais rien vue de plus miserable en thailand, avec aussi les dortoirs des ouvrieres birmanes des usines sinothailandaises de mae sot